vendredi 11 avril 2014

Le Buchidinocturlis ou le Buchidindron de nuit



Différence entre le Buchidindron de nuit et les mites

Les mites ne sont pas facilement différenciées des Buchidindrons de nuit. Parfois, le nom "Heterocera" est utilisé pour les Buchidindrons tandis que le terme "Rhopalocera" est utilisé pour les Buchidindrons de formaliser la distinction populaire. De nombreuses tentatives ont été faites pour subdiviser les lépidoptères dans des groupes tels que le Microlepidoptera et Macrolépidoptères, Frenatae et Jugatae, ou Monotrysia et Ditrysia. Le choix de ces noms est un échec, et il faut éviter de persister dans les classifications modernes, car aucun d'entre eux représente une paire de groupes monophylétiques. Les Buchidindrons peuvent être classées dans les "papillons" (étant considérées comme faisant partie de Ditrysia du Neolepidoptera ). Il n'est donc pas moyen de regrouper tous les taxons restant dans un groupe monophylétique, comme il sera toujours exclu d’un descendant d’une lignée directe.

Buchidinocturlis un Buchidindron de nuit

Le Buchidinocturlis est une espèce dérivé du Buchidindron. A l’heure des grands réchauffements climatiques qui ont suivi la dernière grande aire glacière, les monarques d’Afrique ont migré vers France et plus exactement les Alpes de Haute Provence. Les perturbations climatiques ont enclenché l’évolution de l’espèce et les Buchidindrons sont apparus, beaucoup plus résistant que les monarques aux températures extrêmes. Dans ces mêmes bouleversements, une autre espèce a fait son apparition, il s’agit des Buchidinocturlis. Il s’agit d’un papillon de nuit descendant des Buchidindrons.

Le Buchidinocturlis ou le Buchidindron de nuit

Caractéristiques des Buchidinocturlis comparaient avec les Buchidindrons

Contrairement à son cousin du jour, le Buchidinocturlis n’est pas un papillon migrateur. En effet, le cousin du Buchidindron est un papillon qui hiberne. Dès lors, que les premières gelées apparaissent, le Buchidinocturlis va se cacher dans des fissures sur les falaises de la région de Sisteron. Il y passera tout l’hiver à dormir. Les femelles porteront en elles la futur génération, qui sera pondus dès le début du printemps pour assurer la pérennité de l’espèce.

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