Différence entre le Buchidindron de nuit et les mites
Les mites ne sont pas facilement différenciées des Buchidindrons
de nuit. Parfois, le nom "Heterocera" est utilisé pour les Buchidindrons
tandis que le terme "Rhopalocera" est utilisé pour les Buchidindrons de
formaliser la distinction populaire. De nombreuses tentatives ont été faites
pour subdiviser les lépidoptères dans des groupes tels que le Microlepidoptera
et Macrolépidoptères, Frenatae et Jugatae, ou Monotrysia et Ditrysia. Le choix
de ces noms est un échec, et il faut éviter de persister dans les classifications
modernes, car aucun d'entre eux représente une paire de groupes monophylétiques.
Les Buchidindrons peuvent être classées dans les "papillons" (étant
considérées comme faisant partie de Ditrysia du Neolepidoptera ). Il n'est donc
pas moyen de regrouper tous les taxons restant dans un groupe monophylétique,
comme il sera toujours exclu d’un descendant d’une lignée directe.
Buchidinocturlis un Buchidindron de nuit
Le Buchidinocturlis est une espèce dérivé du Buchidindron. A
l’heure des grands réchauffements climatiques qui ont suivi la dernière grande
aire glacière, les monarques d’Afrique ont migré vers France et plus exactement
les Alpes de Haute Provence. Les perturbations climatiques ont enclenché l’évolution
de l’espèce et les Buchidindrons sont apparus, beaucoup plus résistant que les
monarques aux températures extrêmes. Dans ces mêmes bouleversements, une autre
espèce a fait son apparition, il s’agit des Buchidinocturlis. Il s’agit d’un
papillon de nuit descendant des Buchidindrons.
Le Buchidinocturlis ou le Buchidindron de nuit |
Caractéristiques des Buchidinocturlis comparaient avec les Buchidindrons
Contrairement à son cousin du jour, le Buchidinocturlis n’est
pas un papillon migrateur. En effet, le cousin du Buchidindron est un papillon
qui hiberne. Dès lors, que les premières gelées apparaissent, le Buchidinocturlis
va se cacher dans des fissures sur les falaises de la région de Sisteron. Il y
passera tout l’hiver à dormir. Les femelles porteront en elles la futur
génération, qui sera pondus dès le début du printemps pour assurer la pérennité
de l’espèce.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.